L'auteur commentent largement les devises
Devise 109. De medietate lunae (de la moitié de la lune out De la lune médiane)
Devise 110. De labore solis (Du travail du soleil)
Devise 111. Glora olivae (De la gloire de l'olivier ou de l'olive)
et la fin avec beaucoup de minuscules et une ponctuation minimaliste:
In persecutione extrema sacrae romanae ecclesiae sedebit Petrus romanus, qui pascet oves in multis tribulationibus; quibus transactis, civitas septicollis diruetur, et judex tremendus judicabit populum suum. Finis.
Une petite remarque à propos de la
Devise 108. Flos forum (La fleur des fleurs). L'auteur rappelle les armoiries de Paul VI et revient sur son identité florentine, non comme par naissance, mais le décrit comme originaire de Florence. Il s'inscrit là dans la lignée de Josane Charpentier.
Il fait également allusion à la succession cachée d'Avignon et notamment d'un premier Benoît XIV dont l'humoriste James Finn Garner avait montré que l'existence aurait fait achever la prophétie à Jean-Paul II déjà.
Pour interpréter la vision finale l'auteur récuse la thèse de prosecutione à la place de persecutione telle qu'élaborée par Victor Dehin.
Il faut donc prendre le texte à la lettre mais se souvenir néanmoins qu'il y a d'autres villes aux sept collines: Lisbonne, Moscou, Istanbul.
Pour calculer la date des événements, l'auteur réutilise la clé rappelée par Gérard de Sède et la situe également en 2031.
Il conclue que ce n'est peut-être pas une vision prophétique, mais peut-être un processus interne initié par un goure au sein de l'Eglise pour programmer une refondation et promouvoir une nouvelle étape, une nouvelle ère.
L'impitoyable compte à rebours de la prophétie de saint Malachie n'a jamais été aussi proche... est la dernipère ligne du livre.
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